D-day: L’assaut sur sword beach

Pour le débarquement allié prévu en Europe afin de créer un nouveau front à l’ouest, le secteur de la région Normandie est choisis pour débarquer des milliers d’hommes et de matériels. La zone de débarquement est divisée en 5 plages : Utah, Omaha, Gold, Juno, et Sword.

La plage de Sword Beach qui s’étant de Ouistreham à Saint aubin-sur-Mer est défendue par les hommes de la 716ème division d’infanterie allemande, armée de 500 mitrailleuses, et plus 90 canons de divers calibres.

  • Au alentour de 6H, Ramillies et le Warspite 2 cuirassier positionnés au larges de Sword Beach, ouvre le feu sur les défenses côtières allemandes. Les premier barges anglaises s’approchent en direction des plages normandes. Au large, des dizaines de navires et de barges stationnent. ( Vidéo vétérans )
  • La 3e division d’infanterie britannique (3rd ID), soutenue par la 27e brigade blindée (27th AB), est chargée de l’opération. L’ensemble représente plus de 28 845 hommes et plus de 220 chars moyens (Sherman) et légers (Stuart). En plus, les assaillants disposent de chars spéciaux, lance-flammes, démineurs… regroupés au sein du 22e régiment de dragons.
  • Le début de l’assaut sur Sword Beach peut alors commencer.
Débarquement des troupes britannique sur Sword. Au premier plan le célèbre joueur de cornemuse Bill Millin.

Le principal de l’assaut se concentre sur le secteur « Queen Red » un secteur fortement défendu et fortifié. A 7H30, les premier hommes débarquent sur la plage avec de l’eau jusqu’à la taille. De nombreux régiments participent à l’assaut sanglant à l’image de 2ème régiment East Yorkshire malmené ou ils perdent 200 hommes sur la plage.

Situés entre le village de Colleville sur Orne et Hermanville sur mer, les combats font rage sous une pluie de tir d’artillerie venant des terres. Les troupes britannique arrivent enfin à percer la ligne de défenses allemand à l’endroit appelé aujourd’hui « La Brèche ». Par la suite les villages de Colleville-sur-orne et d’Hermanville-sur-Mer sont enfin libérés.

Les troupes du 2 East Yorkshire Regiment sur Sword Beach

Pendant ce temps plus à l’ouest, les troupes des Royal Marines progresse à lions sur mer et font la jonction avec le village de Luc-sur-Mer.

Parmi la 3e division d’infanterie britannique, on retrouve notamment les commandos britannique associé au seul bataillons français du d-Day , les fusiliers marins et commandos n°4 de Philippe Kieffer.

Avec les troupes britanniques du service spéciale menés par le commandant Lord Lovat, les commandos britanniques et les 177 soldats français du commando Kieffer débarquent à la hauteur du village de Colleville-sur-Orne.

Les commandos français sont en difficultés faces aux nids de résistances allemandes retranchés. Avec le peu d’armes lourdes l’assaut est impossible. Kieffer reçu des nouvelles de ces soldats et décida de réquisitionner un char Hussard pour l’assaut du Casino.

Kieffer arriva face aux casino sous les applaudissement des commandos. Grâce à son canon le char permet d’éliminer toutes poche de résistances allemandes retranchées dans les bunkers.

Lors de l’attaque, Kieffer se blesse la main mais l’essentiel est fait : le village de Ouistreham est libre.

Les Commandos britanniques et Français sur Sword Beach.

Sur les 28 845 soldats débarquaient sur Sword Beach le 6 juin 1944, plus de 600 britanniques sont tué ou blessé lors de l’opération. Parmi les 177 français du commandos Kieffer, au soir du 6 juin, 10 soldats sont tué et 36 autres hommes sont blessés.

Le jour J côté allemand

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Werner Kortenhaus , radio à la 21° Panzer Division (General Feuchtinger – Groupe de Combat Von Luck)- 22° régiment Blindé – 4° Compagnie, témoigne

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